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IMPROBABLE GEEK - Page 4

  • Avis sur le jeu video Axel & Pixel

    Vous vous souvenez sûrement (pour les plus âgés) des jeux en Point and clic ? Ces jeux qui ont fait notre bonheur dans notre enfance, et surtout les souvenirs que l’on a de cette époque avec des jeux comme Monkey Island…(disponible aussi sur live). Je vais donc vous parler cette fois de Axel & Pixel, qui vient de débarquer sur le Xbox Live Arcade.

    Axel & Pixel est un jeu tout mignon aux graphismes hallucinants, sorte de mélange de photo-montage et d’un réel travail graphique pour un rendu photo-réaliste.

     

    L’histoire :

    Dans ce magnifique jeu en 2D, vous incarnez Axel, un peintre et son chien, Pixel.

    Alors qu’il se sont paisiblement endormis, ils se retrouvent bloqués dans leur rêves et doivent traverser leur imagination au fil des quatre saisons pour retrouver la clé de leur réveil, qu’un vilain rat a emporté et compte bien garder…

    Ça se joue comment un point and clic ?

    C’est très simple, il vous suffit de déplacer votre curseur sur le niveau, et quand il change de forme c’est que vous avez trouvé un indice, rien de plus simple…

     Le jeu :

    Axel & Pixel ont vraiment un humour qui décape… les mimiques des deux compères sont énormes. Loufoque, Axel un grand maigre, façon rital avec sa barbiche et son bonnet rouge, et Pixel, le chien, qui abuse un peu sur les croquettes.

     Les énigmes très drôles d’Axel & Pixel ne sont généralement pas très compliquées et ne nécessiteront pas des montagnes d’ingéniosité. Le titre s’avère assez accessible, considérez le plutôt comme un voyage dans un univers magique/poétique.

    Vous vous verrez ainsi balancer des boules de neige sur un géant, ou encore de rafistoler un circuit électrique.

    A noter aussi plusieurs mini jeux dans l’aventure qui vous demanderont pas mal de dextérité, comme la conduite d’un buggy façon Trial HD.

    En définitif, ce jeu est une véritable perle qui justifie amplement de l’essayer, puis de l’adopter pour 800 msp.

    Seul bémol, sa durée de vie qui ne dépasse pas les 5 heures.

     

  • Xbox Star Wars édition…

    C’est aujourd’hui à l’occasion de l’International Comic-Con of San Diego CA, que Microsoft et Lucas Art ont dévoilé un nouveau pack Xbox 360-Kinect assez spécial et pour tout dire assez enthousiasmant… Il s’agit d’une édition limitée aux couleurs de Star Wars et du duo mythique R2-D2 et C-3PO. Encore une nouvelle déclinaison la célébrissime licence de Mister Georges Lucas qui entretient savamment sa poule aux oeufs d’or depuis plus de 30 ans.

    Même s’il y a peu de chances que j’achète cette édition limitée, je suis prêt à parier pas mal que les fans de la Guerre des Etoiles ne vont pas hésiter bien longtemps avant de commander l’ensemble de bundle supposé doper les ventes de Kinect Star Wars.

    Mais qu’est-ce qu’on trouve donc dans ce pack de ouf qui va faire tourner la tête de plus d’un padawan :
    - le jeu Kinect Star Wars (on s’en fout un peu…)
    - la console X360 façon R2-D2 avec sons personnalisés (là, ça cause…)
    - un capteur Kinect blanc (il pouvait pas le faire vert Yoda…)
    - une manette C-3PO (ouais, elle est dorée quoi… mais bon, ça permet toujours de se la péter comme un dingo)
    - un disque dur 320 Go, un micro-casque, le jeu Kinect Adventures, et des contenus téléchargeables exclusifs…

     

    Alors, ça vous tente ou bien ?

    Que la force soit avec vous  !

  • Avis sur le jeu Hot Shots Tennis

    tennis.JPG    La série Hot Shots Golf a connu beaucoup de succès depuis son premier titre sur PlayStation en 1998 grâce à sa promotion faite par les joueurs de tennis des années 80 et 90. Des personnages caricaturant de jeunes adultes, affrontant divers parcours de golf dans un style de jeu plus ou moins sérieux. Le tout étant un peu à l'image de la série Mario Golf sur les consoles de Nintendo. Voilà que Sony se lance dans un nouveau sport avec sa franchise à succès. Et quoi d'autre que le tennis, un sport déjà adopté par la bande à Mario. Le résultat est bien pour un premier essai, même s'il a encore beaucoup de croûtes à manger avant d'être à la hauteur de son principal compétiteur.

         Le concept du jeu de tennis est assez simple, offrant des matchs rapides contre l'IA ou jusqu'à quatre amis en utilisant le multitap. Malheureusement, il n'existe pas de mode en ligne pour jouer outre-mer contre de parfaits inconnus. Néanmoins, il y a également un mode tournoi où on progresse avec les divers personnages disponibles dans des matchs de tous types. Certaines restrictions sont imposées, comme le terrain, le nombre de jeux et la difficulté qui est ascendante. En cours de route, on débloque de nouveaux terrains, des arbitres, des vêtements et de nouveaux personnages. Cependant, ce mode n'a pas beaucoup de profondeur et on peut le terminer assez rapidement. Par la suite, on peut tenter certaines épreuves que le jeu nous offre, par exemple frapper la balle dans la zone indiquée. Si on est du genre à toujours vouloir s'améliorer, on peut y passer un bon moment.

         Un aspect mitigé du jeu est ses contrôles qui fonctionnent tout à fait à l'inverse du jeu de tennis traditionnel. Dans certains jeux comme Top Spin et Table Tennis, lorsque qu'on se prépare à frapper la balle, on doit appuyer à l'avance sur le bouton de notre type de frappe. L'action est par la suite exécutée lorsque la balle entre en contact avec la zone de frappe de la raquette. Dans Hot Shots Tennis, on doit se déplacer là où on estime que la balle va se rendre et appuyer sur le bouton au bon moment. Un indicateur visuel montre l'exactitude de notre coup : un lapin pour une frappe en avance, une tortue pour une en retard et une note de musique pour une bonne ou excellente frappe. Le premier problème en est un d'adaptation, car nos réflexes nous poussent à vouloir jouer de la façon traditionnelle. Le deuxième vient du fait qu'on peut mal diriger nos coups ainsi, car un mouvement vers la gauche ou la droite une fraction trop en avance, on manque totalement notre coup et ça peut devenir frustrant à la longue.

  • Avis sur le jeu Mass Effect - fin

    Les choix moraux qu’utilise Mass Effect pour faire avancer son histoire ne sont pas nouveaux aux jeux d’aujourd’hui, mais comme Bioware est l’une des compagnies qui a popularisé cette mécanique de jeu avec, entre autres, Baldur’s Gate, il fallait s’attendre à une évolution dans le genre. Effectivement, les choix sont variés, et bien souvent, déchirants. Contrairement à Knights of the Old Republic, où il était plus facile de faire de mauvaises actions que de bonnes, le jeu récompense plus souvent les deux parties. Spécifiquement, entre Paragon et Renegade, la différence est mince ; c’est surtout au niveau des conversations et du respect des autres personnages que la variation est importante. Ainsi, vous pouvez immédiatement déterminer votre personnalité en faisant quelques choix au début du jeu, mais ces choix auront rarement de l’impact à long terme. On peut donc s’amuser naïvement à insulter un personnage, sans nécessairement avoir peur de tomber dans le côté obscur de la force, étant donné que les deux sont invariablement séparées.

         Le choix est encore plus évident lorsque nous avons affaire à la Voie lactée. Une grande partie de la galaxie est ouverte pour l’exploration, incluant, évidemment, notre système solaire. Au début, il peut sembler décevant qu’une seule planète soit explorable par système, mais au nombre de systèmes disponibles, il n’en devient que raisonnable de la part de Bioware d’en avoir décidé ainsi. Les planètes prennent souvent l’allure d’environnements générés aléatoirement, alors qu’on y retrouve souvent le même genre d’informations et d’objets (une anomalie, des minéraux, des débris et une base d’opérations). La zone est assez grande pour empêcher la claustrophobie, mais jamais trop vaste pour s’y perdre. Explorer ces systèmes devient rapidement une obsession, et les missions y sont toujours intéressantes, même si les environnements manquent de variation.

    mass-effect.JPG



         Mass Effect est grandement inspiré des films de science-fiction des années 1970, et arbore un style artistique très différent des jeux récents, qui eux affichent un futur déchiré et sale. Mass Effect est gris, blanc, très propre et surtout très démocratique. Des armures aux décors, tout est esthétiquement beau et très raffiné. Le talent artistique est d’autant plus remarquable dans la grande Citadel, où guerre et combats laissent place à la sérénité et à la politique. La musique est également sublime, utilisant le synthétiseur pour reproduire une musique charmante, un peu similaire à Blade Runner ou à la plupart des films des années 1970. C’est l’héritage que Mass Effect traite ; il n’oublie pas d’être original, mais utilise ce qui marchait, et, inévitablement, marche encore.

         Indépendamment du chef-d’œuvre que Bioware peut avoir concocté, l’impression d’ampleur et d’ouverture est limitée par la technologie : les planètes sont souvent désertes, sinon entrecoupées d’écrans de chargement et les textures ont de la difficulté à apparaître (souvent renvoyées au terme pop-ins, où une texture basse résolution est chargée dans la mémoire tampon pour ensuite être remplacée par une de plus grande résolution, mais qui est ici interrompue par le temps de chargement du disque DVD). Bref, le jeu semble un peu trop ambitieux pour l’engin que la compagnie canadienne utilise (Unreal 3). Des petites inconsistances au niveau de la programmation de l’interface viennent aussi brouiller l’expérience ; un manque circonstant de raffinage dans le menu des items ne permet pas, par exemple, d’avoir plus que 150 objets.

         Bref, malgré tous ses problèmes, Mass Effect brille dans un univers de jeux d’action sombres et sales ; il réussit à accomplir plus que la plupart des jeux du même genre espéreraient accomplir. Mais même avec ses intentions, les problèmes techniques qui polluent le jeu déconnectent incessamment le joueur de l’expérience autrement immensément immersive. Le mieux qu’on peut espérer est de revoir le jeu en version améliorée dans un second opus, qui saura se dispenser de l’engin trop restrictif et réparer les problèmes d’intelligence artificielle et ainsi laisser place aux véritables qualités de Mass Effect, qui offre une expérience profondément étonnante et riche en émotions.

  • inFamous 2 - avis sur le jeu , fin

    infamous2.JPG

    Dans le premier opus les combats au corps à corps était plutôt compliqué et il faut le dire très hasardeux, Sucker Punch a résolu le problème en insérant dans inFamous 2 une arme qui se nomme amplificateur, une sorte de bâte de Baseball en forme de fourchette à 2 piques qui fait circuler le courant. Les supers attaques donnent droit à de magnifiques finish avec une caméra qui se penche légèrement afin d’accentuer l’action. Tiens en parlant de la caméra, on a quelques fois des soucis, elle ne fait pas forcément ce qu’on veut et étant dans un jeu où on peut regarder dans toutes les postions il y ‘a des fois où la caméra peut être perdu, c’est malheureusement souvent le cas dans ce genre de jeu.

    Le jeu à aussi laissé de côté les cinématiques toutes en images version comics, on retrouve surtout des cinématiques. Alors on a bien sur quelques passages en version comics mais beaucoup moins et je suis un peu déçu car ça donnais aussi son originalité, son charme au jeu, là c’est plutôt banal, comme on pourrait voir dans n’importe quel jeu en sorte.

    Bon Cole ou mauvais Cole !

    Un grand pouvoir implique de grandes responsabilités, je suppose que vous connaissez cette phrase ! Dans inFamous 2, Cole va être confronté à faire des choix et devra choisir s’il veut un bon héros aimé de tous ou au contraire celui qui profite de ses pouvoirs pour faire sa loi, si dans le premier opus cette facette du jeu était plutôt anecdotique il n’en ai rien ici.

    Dans inFamous 2 chacun de vos choix auront une conséquence, tellement importante la conséquence que vous n’aurez pas la même fin selon si vous choisissez le bon ou le mauvais côté. Autrement dit ça permet une rejouabilité intéressante, d’ailleurs pour ce qui est de la durée de vie j’ai bien pris mon temps pour faire l’histoire car j’ai fait toutes les quêtes secondaires (il y en a environ 60), j’ai récupéré pratiquement tous les fragments (je doit en avoir 280 sur 305), mais si on enlève tout les à côté je dirais qu’il faut environ 12-13h juste pour le solo, mais sachez que c’est important les quêtes secondaires car elle vous permettent d’avoir de l’exp et ainsi débloquer les pouvoirs, qui sont différents selon si vous faites l’aventure en bon ou en mauvais.

    Pour ce qui est de la bande son les musiques sont plutôt sympas mais reste très discrète, par contre le bruitage des pouvoirs de Cole sont très bien retranscris et ça renforce cette sensation de puissance qu’on a avec Cole surtout au moment du finish avec l’amplificateur.

    Histoire de prolonger un peu la durée de vie, Sucker Punch a mis en place dans ce inFamous  2 une fonction qui permet de créer ses propres missions et aussi de jouer les créations des autres joueurs du monde entier, un peu comme le fait LittleBigPlanet. Pour le moment je n’en ai testé que très peu, mais il faut avouer que l’idée n’est certe pas nouvelle mais elle permettra d’avoir encore des choses à faire une fois le jeu complètement fini.