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IMPROBABLE GEEK - Page 3

  • avis : chronique du jeu animal crossing

    Un extrait d’une chronique faite en 2006 pour la sortie de animal crossing : wild World .

    Il est arrivé dans les bacs vendredi dernier et pourrait bien marcher sur les traces du succès de « Nintengogs ». Plus de deux millions de japonais ont d’ailleurs craqué pour lui. « Animal crossing : wild World » est le dernier simulateur de vie créé pour Nintendo DS. Aussi déroutant pour les uns qu’addictif pour les autres , ce titre atypique propose en effet un gameplay unique. Ici, pas de combat ni de quête à remplir comme dans les jeux MMO en ligne : vous êtes libre de faire ce que vous voulez.

    Après avoir choisi le nom de votre personnage et de la ville où vous élirez domicile vous n’aurez ainsi plus qu’à vivre dans un monde virtuel au sein d’un univers enchanteur et de graphismes rafraichissants. Styler en main, vos pérégrinations vous permettront ainsi de travailler pour rembourser votre maison, acheter des objets pour la décorer, vous occuper de votre jardin, boire un coup au troquet d’à côté ou encore partager bonheur (et disputes…) avec vos voisins de pallier.

    Chaque journée en temps réel suivant les cycles des jours et des nuits (grâce à l’horloge interne de la DS) vous offre une expérience de jeu unique et à l’infini. Autre différence de taille avec la version GameCube, la cartouche propose une option Wi-Fi internet. De village en village, les gamers vont ainsi pouvoir visiter les villages virtuels du monde entier.

    Chaque journée passée à vivre dans cette aventure permet de se lier d’amitié avec les voisins, de gagner de l’argent (ici on compte en « clochettes », pas en Euros) et d’embellir sa maison. le monde du jeu évolue en suivant les cycles des jours et des nuits. Attention à ne pas donc laisser votre Nintendo DS trop longtemps éteinte car à votre retour vous risquez de retrouver votre maison endommagée par les intempéries ou la pelouse envahie de mauvaises herbes…

  • [Test] Spider-Man : Aux frontières du Temps

    Après un Spider-Man Dimensions sorti en septembre 2010 qui avait été plutôt bien accueilli par la critique, Beenox Studios et Activision remettent le couvert cette année et nous proposent un Spider-Man : Aux Frontières du Temps. Si l’épisode de 2010 nous proposer d’alterner entre 4 spider-mans, cette année le studio à fait l’impasse sur 2 et nous propose (seulement?) 2 personnages : Amazing Spider-Man et Spider-Man de 2099. Sorti le 14 octobre 2011 que vaut réellement ce nouvel épisode de notre homme araignée préféré? Je vous propose de le découvrir tout de suite.

    Scénario du jeu Spider-man

    Ce nouveau Spider-Man nous propose donc de vivre l’aventure au côté de Peter Parker (Amazing Spider-Man) et Miguel o’Hara (Spider-Man 2099). Ils vont devoir unir leurs forcent pour contrer les plans du scientifique Walter Sloan qui veut tuer notre cher Peter Parker afin d’être tranquille en 2099. Les actions d’un spider-man sur son monde aura des conséquence sur le monde de l’autre, c’est la causalité quantique ! Sans trop vous dévoiler l’histoire, sachez qu’évidement il va y avoir quelques méli-mélo entres les 2 mondes et tout ne vas pas se passer comme prévu, forcément !

    L’histoire, qui dure environ 7h, est plutôt basique mais se laisse faire. Les quelques têtes connus ou les petits rebondissements sont agréables mais… et il y a un gros mais ! La chose mise en avant du jeu c’est bien le fait qu’une action dans un monde à des conséquences sur le monde de l’autre mais le problème c’est qu’on ne contrôle rien du tout et que c’est totalement scripté ! Tout comme les passages d’un monde à l’autre qui se font automatiquement, imaginez vous en train d’essayer de faire un combo de 200 coups pour avoir le trophée/succès et là bim tout d’un coup il faut changer de monde.

    On ne se sent pas libre !

    Déjà avec la causalité quantique totalement scripté on ne sens pas libre mais il n’y a pas que ça. En effet on se retrouve dans un jeu très linéaire, très couloir et très dirigiste. Alors je ne suis pas forcément contre les jeux couloirs, au contraire je peux même bien les apprécier mais là en plus on se retrouve dans des environnements pas très variés et le studio profite même de l’effet année 2011 – année 2099 pour nous ressortir les même bâtisses. Rajouté à ça le fait qu’on ne se retrouve que dans des environnements intérieures, ce qui est fort dommage car je trouve que ça limite les possibilités de notre Spider-Man. Bon je ne peux quand même pas nier qu’il y a quand même quelques niveaux différents, comme l’espèce de jungle intérieur mais en règle générale tout se ressemble.

    Par contre un vrai soin a été apporté à la modélisation des personnages. Par exemple les costumes des Spider-Man, qu’on peut gagner en faisant des défis ou d’autres façon, sont parfaitement réussi et réagisse bien par rapport à la lumière de la pièce dans laquelle on se trouve. Le reste de la réalisation est plutôt sommaire avec des graphismes basiques et des textures qui commencent à piquer les yeux si on se rapproche trop. Là où le titre excelle par contre c’est lors des cinématiques qui sont particulièrement bien réussi et agréable à regarder, il aurait fallu que le même soin soit apporté au reste du jeu.

     

  • Operation Flashpoint : Red River – Le test

    Operation Flashpoint (OF) est sortis le 21 avril 2011 sur Ps3, Xbox 360 et PC. On doit ce jeu à Codemasters et c’est un fps/simulation, simulation car OF se veut le plus réaliste possible. On est donc un Marines, le chef d’une escouade de 3 personnes (donc 4 avec nous ), on est envoyé au Tadjikistan pour régler différents conflits causés par les rebelles sur places, puis au milieu du jeu les Chinois viennent aussi s’en mêlé, bah oui sinon ça serait trop simple Dès le départ on est mis dans l’ambiance par un officier supérieur qui nous cesse de répéter les 10 règles pour être un parfait soldat, si ça nous fait sourire au départ au boût d’un moment ça commence à être un peu lourd d’entendre toujours la même chose, mais bon comme j’ai bien aimé l’idée je vous met les règles qu’il faut donc suivre :

    Règle n°1 : Évitez les balles
    Règle n°2 : Tirez par rafales courtes
    Règle n°3 : … suspens
    Règle n°4 : Vérifiez le point d’impact
    Règle n°5 : Soignez-vous
    Règle n°6 : Gardez un chargeur plein
    Règle n°7 : Dans le doute, repliez
    Règle n°8 : Faites des tirs de suppression
    Règle n°9 : Ecoutez les ordres
    Règle n°10 : Méfiez-vous des espaces confinés

    Vous êtes fin prêt soldat !

    Scénario d’Operation Flashpoint : Red River

    Donc le scénario s’étale sur une 10aine de missions, et il faut environ 1h-1h30 pour faire chaque missions, ce qui fait une très bonne durée de vie, malheureusement les décors étant peu variés on a l’impression de faire toujours la même chose. Bon en même temps le jeu se veut « réaliste » donc c’est surement normal qu’il y ait une sorte de monotonie dans la vie d’un soldat… d’ailleurs qu’est-ce qui fait que OF Red River est plus réaliste, plus simulation qu’un Call of Duty ou un Battlefield par exemple ? Tout d’abord dans OF, tout ce joue sur de la longue distance, ici pas de corps à corps, de toute façon on ne peut même pas faire de coup de couteau.

    Les affrontements se passe habituellement aux alentours de 200 m l’un de l’autre, et des fois bien plus. Rajouté à ça le fait qu’ici il ne faut pas beaucoup de balles pour mourir, une balle perdu ou une balle qui rebondit contre une carcasse de voiture peut sacrément vous amocher, ce qui vous fera vous perdre de votre sang donc il faudra vous soigner (ou vous faire soigner) assez rapidement afin de ne pas tomber dans les pommes ce qui mettra un terme à la mission.

    Afin de renforcer le côté simulation vous allez pouvoir donner des ordres à votre équipe, pour ce faire il suffit d’utiliser la roue d’ordre facile d’accès (sur ps3 : R2 + flèches directionnelles pour choisir l’ordre), et quand on appuis sur R2+L2 on a accès à tout ce qui est bombardement, mais ça on ne peut pas l’utiliser tout le temps. Il y a donc bien une bonne quinzaine d’ordre à donner ce qui permet d’appréhender de différentes manières chaque objectifs.

    A la fin des missions on obtient des points qui permettent d’augmenter certaines compétences, mais personnellement je n’ai pas vu de gros changement.

  • Serious games : jusqu’où peut aller la Gamification du monde ?

    Vous n’en avez peut être jamais entendu parlé, je vous l’annonce donc : Le monde se gamifie, et si vous ne voulez ne pas être à la marge des conversations les plus hype de 2021, il va falloir comprendre de quoi il s’agit… Vous le savez le jeu-vidéo, ses codes, ses règles ont tendance à franchir les frontières dans lesquels ils étaient cantonnés. Aussi, la GAMIFICATION n’est pas qu’un “buzzword” à la mode, c’est aussi une inclinaison importante qui influence de nouveaux services web et un concept qui a tendance à se généraliser à des comportements de la vie réelle. Et comme j’ai l’habitude de prendre le temps et du recul sur les évolutions des pratiques de jeu, je me devais de faire un petit état des lieux sur le phénomène très ambitieux et assez nouveau (quoi qu’on en dise) de la Gamification ou serious game (exemple le jeu pro BTP dans l'univers de la maison)

    Back to basics : La Gamification. Nouvelle définition.

    Pour résumer, la gamification est la généralisation de mécanismes issus du jeu-vidéo dans des domaines qui n’étaient pas censés a priori les utiliser.

    C’est une nouvelle étape de la numérisation des services, après avoir porté sur le net ou le mobile des comportements de la vie réelle, la prochaine étape est d’y intégrer des mécaniques de jeux. Les avantages et objectifs sont nombreux : simplicité de la prise en main, immersion et engagement de l’utilisateur, fidélisation, conversion, amélioration des temps d’exposition, etc. Ce phénomène semble fonctionner dans le monde numérique (à travers des ambassadeurs à succès célèbres comme Foursquare) mais s’il  a la capacité de se généraliser à la vie réelle, là ça devient fascinant.

    Les mécaniques vidéo ludiques connues :

    • Gameplay : Expérience utilisateur

    • Barre de progression

    • Trophée, Badges

    • Niveaux, levels

    • Tableaux de meilleurs scores (high score), compétition

    • Barre de menus, accessoires, vies

    • Cadeaux et monnaie virtuelle (gifts, virtual goods, currency)

  • Test : Unreal Tournament 3

    unreal.JPGUn peu plus d'un an après l'arrivée de Gears of War sur Xbox 360, Epic Games nous revient aujourd'hui avec son autre gros projet, Unreal Tournament 3, spin off multijoueur de la série Unreal. Apparu pour la première fois en 1996 pour le jeu original et en 1999 pour les premières parties en lan, sous le simple nom de Tournament, la saga Unreal a toujours permis à Epic Games de mettre en avant leur désormais célèbre moteur graphique, l'Unreal Engine. C'est encore une fois le cas avec ce nouveau volet multijoueur, qui n'est d'ailleurs pas exactement le numéro 3, mais le quatrième si l'on compte les épisodes 2003 et 2004 séparément. La troisième version du moteur graphique de chez Epic Games est très bien mise en valeur dans cet épisode. On a déjà pu retrouver une foule de jeux utilisant ce moteur graphique sur nos consoles dites de next gen, comme chez Ubisoft avec Rainbow Six Vegas, Bioshock de chez 2K Games et bien sûr Gears of War, pour en revenir au même développeur. Trois titres différents dans leur aspect artistique qui utilisent la même technologie, mais hélas ce n'est pas le cas et la comparaison ne peut être écartée entre les deux mastodontes que sont Unreal Tournament 3 et Gears of War. Les jeux présentent tellement de similitudes que finalement on pourrait penser que ce nouveau tournoi irréel soit à présent le spin off de Gears of War. Avec un héros qui pourrait très bien être le frère caché de Marcus, et des niveaux beaucoup plus urbanisés qu'auparavant, on comptera par la même occasion un nombre assez restreint de cartes à jouer. Un mode solo est bien présent, mais ne pensez pas y trouver une aventure linéaire comme dans Gears of War : ici, l'histoire n'est qu'un simple prétexte pour introduire quelques cinématiques utilisant toute la technique du moteur graphique, pour en mettre plein la vue et poser les bases de l'univers dans lequel les joueurs vont pouvoir se fragguer à longueur de journée. Un titre résolument axé multijoueur dans la continuité de ses prédécesseurs. Mais pour profiter pleinement de cet aspect du jeu, il faudrait encore pouvoir trouver du monde sur les serveurs, qui sont pour le moment étrangement peu fréquentés. Le jeu dans son ensemble dispose de tous les éléments pour en faire un très bon jeu multijoueur, avec de nombreux modes (comme les traditionnels capture the flag, deathmatch seul ou en équipe), dont certains proposent des variantes assez sympa qui vous demanderont d'utiliser les multiples véhicules mis à votre disposition. On notera aussi, parmi ces quelques nouveaux modules de déplacement, le skate en lévitation qui vous permettra de ramener rapidement, et bien gardé par vos coéquipiers, le drapeau dans votre camp. Pour que tous ces combats gagnent en intensité, la bande sonore du jeu reste dans le classique des épisodes antérieurs, et c'est avec nostalgie que l'on retrouve les sensations des combats effrénés sur Internet. En somme un très bon jeu qui vient compléter la ludothèque de la PlayStation 3, on regrettera simplement le manque d'identité du titre, trop similaire à un Gears of War.

     

    Le solo n'est qu'un entrainement avec de belle sequence video . Le jeu est axé on line , et on peut dire que c'est tres largement reussi. il est tres rapide et dynamique , la prise en main est facile et le jeu est tres jolie. On voit bien que c'est les createurs de Gear of War je trouve que le hero ressemble beaucoup a Marcus. Les armes sont tres bien imaginé et l'ambiance est vraiment excellente! On peut donc importer des maps, et pas mal de truc via le port usb de la ps3, qu'on peut Dowload sur le site UT3MOD. donc accessible a tous. un regret quand meme , il n y a pas de classe ni de grade , on joue que pour embellir nos stats. Tres bon jeu pour les fraggs mais COD4 reste encore leader

     

    Les createurs de Gears Of War nous offent la un putain de bon jeu multi,on passera le coté solo anecdotique. Pour la premiere fois sur console,la possibilité d'importer des mods, maps, mutators et autres comme sur PC. Avec un gameplay brutal et nerveux, des modes classiques mais efficaces,des vehicules qui dechirent tout et une réalisation du tonnerre UTIII est un titre que je conseil fortement il a tout d'un killer pour le jeu en ligne.